PEUT-ON ÊTRE SOUVERAINISTE DE GAUCHE ?

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On entend de plus en plus, dans les milieux de la gauche radicale, une petite musique souverainiste, jouée entre autres par Jean-Luc Mélenchon, Frédéric Lordon ou Jacques Nikonoff, l’ancien dirigeant d’Attac. Nous aurions un problème en France : retrouver notre souveraineté, non pas au nom de Lire la suite

LA GAUCHE DEVRAIT-ELLE SE « TRUMPISER » ?

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Le 23 janvier 2015, quelques jours avant d’être nommé ministre des Finances du nouveau gouvernement grec, Yanis Varoufakis répondait aux questions de Channel Four. Son premier objectif, expliquait-il, était de prendre les mesures d’urgence permettant de réduire les effets sociaux de la crise, et Lire la suite

PARTI SOCIALISTE : Couler le Titanic

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À dix mois de la présidentielle, l’exécutif et le PS n’ont jamais été aussi affaiblis, aussi coupés de leur électorat de 2012. Le constat est sans appel : plus de majorité, plus de soutien populaire, plus de crédibilité… Bref un parti qui prend l’eau. Depuis Lire la suite

LE PS N’EST PAS DE GAUCHE

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Le PS échoue parce qu’il mène la politique des capitalistes – la même que l’UMP. Pour échapper à la logique autoritaire que suit l’oligarchie, il faut construire la gauche autonome, écologiste, unissant des traditions politiques différentes mais convergeant dans leur analyse du Lire la suite

MAIS QUE VEUT LE NPA ?

Le NPA, devait inventer le projet d’une société alternative: l’écosocialisme. Actuellement force est de reconnaitre que le projet est encore dans le flou, le programme difficile à trouver, et les divergences internes nombreuses. Après de rudes recherches, j’ai fini par Lire la suite

REVOLUTIONNAIRE OU REFORMISTE ?

Pourquoi les partis dits de gauche ne sont pas capables de faire l’union, de combattre tous ensemble main dans la main ? L’union pour qui, dans quel but, pour quoi faire ? Il n’existe pas une gauche, mais des gauches : des gauches réformistes et des gauches révolutionnaires, pas dans le sens de la lutte armée, bien sûr !

Ce qui  distingue un parti révolutionnaire de l’appareil du FDG par exemple, n’est pas seulement la relation au PS, mais le fait que les seconds sont réformistes, nomenclaturistes et institutionnalistes. C’est à dire que pour eux, les logiques d’alliances sont décidées par les directions du parti, et non par la base. De même que les actions sur le terrain ne sont qu’un moyen pour gérer les réformes dans le cadre de l’appareil d’état tel qu’il est. La relation du FDG au PS est très forte, en termes de postes dans les collectivités, les départements et les régions. Cela permet au social libéralisme d’exercer un chantage permanent sous couvert d’accords tactiques aux législatives ou aux municipales sur la base de désistements réciproques ou de votes au cas par cas, au nom d’une illusoire unité de la gauche contre la droite.

Dans les mobilisations contre la réforme des retraites, alors que les raffineurs occupaient les dépôts, au moment où le mouvement cherchait à Lire la suite